De nouvelles portes s’ouvrent !

De nouvelles portes s’ouvrent !

Quand je veux quelque chose, je me donne les moyens de l’obtenir. Un état d’esprit qui a déjà mené à un double doublé : deux restaurants de bagels Sanseveria et deux maisons louées à des hôtes belges et étrangers. L’ambition et l’entrepreneuriat exigent et méritent que l’on fasse des choix. C’est pourquoi je referme doucement la porte de l’AirBnB de la Frère Orbanstraat à Ostende, pour mieux m’ouvrir à de belles perspectives et de nouveaux défis !


Mais d’abord... Petit flashback jusqu’en 2015 !

Mon regard s’est arrêté sur une maison de maître rénovée de 1932, parfaite comme point de chute pour explorer Ostende : proche du centre, de la plage et des espaces verts. Oui, nous pouvons être fiers de ce que cette station balnéaire a à offrir ! Un savant mélange d’un passé glorieux et d’une nouvelle vigueur. Une ville pleine d’allant que je voulais faire découvrir aux visiteurs de chez nous et des quatre coins du monde.

Ça a été le début d’une quête ambitieuse de pièces uniques, marquées par la belle patine du temps. J’ai déniché toutes sortes de pièces via des sites d’enchères et des boutiques vintage, j’ai rempli des valises de trouvailles : une table vintage en marbre de Carrare, un meuble bar sur roulettes, des babioles ramenées de Londres et Amsterdam et des souvenirs personnels. J’y ai aussi ajouté des biens de famille, combinés à des pièces neuves, achetées uniquement dans des boutiques locales. Il y a un aspect collection et customisation derrière tout ça, vraiment agréable ! Cela a donné un intérieur éclectique, à la fois rafraîchissant et un peu nostalgique.

Un sentiment chaleureux

La maison de la Frère Orbanstraat était une maison pleine de vie (avec ses éclats de voix occasionnels), un lieu parfait pour se détendre ou simplement musarder. Mais avant tout un lieu où les hôtes se sentaient comme chez eux.

Et comme disait ma grand-mère : “Mon petit Bert, un accueil chaleureux, ça ne s’oublie pas”. C’est une pensée que je garde dans un coin de ma tête dans tout ce que j’entreprends.

Rédigé le 21/02/2020 par Bert

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